lundi, octobre 25, 2010

Solitude.

     J'ai passé ma soirée dans un restau Marocain et j'ai appris que le vin Oriental est un traître. J'ai passé dix minutes de ma soirée d'hier devant La Horde, et je me suis rendu compte que Yannick Dahan est un traître. Et ce matin, en me levant, un ami me fait fortuitement tomber sur le plus gros traître de la planète, qui s'avère être un type que je ne connais pas : 

Celui là. Et autant vous dire que mon café matinal m'est ressorti par le nez.

   C'est ça le problème quand on a un nom trop super hype comme le mien, c'est que le reste du commun des mortels veut aussi avoir un nom trop super hype et que forcément, à un moment donné on arrive à des collisions pour le moins gênantes. Parce qu'imagine qu'un jour ce type devienne riche & célèbre (je ne sais pas trop si je le lui souhaite), à l'annonce de mon diminutif nominatif les gens vont fatalement poser leur question de merde : Tiens, comme le chanteur ? Non, pas comme le chanteur non. Parce que fatalement, si quelqu'un cherche à copier quelqu'un ici, ce n'est pas moi, pour la simple et bonne raison que moi j'ai des cheveux.

  Sur ce, je me tire à la préfecture pour me faire rebaptiser Tallulah. C'est soit ça, soit un attentat à la bombe chez Universal Music, à titre d'exemple.

Edit : Et en plus sa musique est à chier.

11 commentaires:

  1. Je compatis, en plus ce nom ne lui va pas. Tu le portes bien mieux que lui, non mais sans dec.

    RépondreSupprimer
  2. Merci, j'ai pas l'intention de me laisser abattre par un type qui se prend pour un mix foireux entre Sean Paul & Joey Starr (et Dieu sait que Joey Starr est sacré). Mais je vais quand même pleurer un petit peu.

    RépondreSupprimer
  3. Nan on dira pas "comme le chanteur ?", mais "comme l'opticien ?"

    RépondreSupprimer
  4. Bha déjà les personnes qui se croient drôles me demandent si c'est là que j'achète mes lunettes. Lolesque.

    RépondreSupprimer
  5. Tu remarqueras que je l'ai jamais faite !

    RépondreSupprimer
  6. Je travaille sur la notion de personnage chez toujours le même cinéaste. Pour l'instant, c'est beaucoup beaucoup de lectures de théories littéraires, d'où la sémiotique.

    RépondreSupprimer
  7. Ouais, j'aimais bien ses chroniques, mais depuis que j'ai vu les dix premières minutes de la horde, je ne le verrai plus jamais de la même manière. Parce que la caméra épaule à la truelle, ça passe quand on s'appelle Danny Boyle, sinon, non, jamais.

    RépondreSupprimer